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dans ma bassine, la vie dessine
mille raisons de croire
a la vie citadine.
quand l'eau se vide
la vie urbaine est une aubaine
les néons crient victoire
et la foule rengaine.
dans sa cuvette, la vie se fête
croire est une des raisons
de la vie rurale
de champs succursales
quand ils nourrissent la foule
de cette vie champêtre
avec quelques rafales
dans nos récipients, la vie sans expédients
nous tend la main.
quel sera le futur dessin
une représentation de l'Orient
pour un Occident enclin
ou les deux réunis
dessinent des vasques remplies a bon escient
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c'est trop bien! ça me rappel le livre de platon! les grecques utilisé deux amphores, l'une remplissant l'autre, pour chronométrer les discours dans les cours de justice, quand l'amphore du plaignant était vide l'accusé répondait en vidant l'autre amphore.
Ce que je lis de toi dis devant la Justice du coeur Orient et Occident sont deux vasques dans la quel les avis et la vie ( héhé) balance. mais c'est pas énormément compliqué d'équilibré deux récipient avec de l'eau. après tout dépend de savoir si l'Orient et l'Occident sont près à être deux récipiant égaux, parce qu'il n' y aucune raison, hein! ( l'exclamation c'est pour tous les fachos et les intégristes) y a pas de raison de pas être égaux? si! ah bon bah expliquez moi ça?
nouga t un grand 'sieur
dans son amphore, l'ami phosphore
des mots s'échappent , qui happent
le tourbillon de sa vie
lui qui n'oublie jamais
d'écrire sur la folie
quand elle est source d'insomnies
quand le lit quitte la rivière
que les mots partent en guerre
quand les mots disent encore
que leur éclats sont visionnaires
alors dans son amphore, il dansent sans sans faire
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tant qu'on ne jette pas le bébé avec l'eau du bain....
j'ai bien aimé votre dialogue à tous les 2
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Moi aussi. Et je suis toujours surprise devant les multiples sources d'inspiration de Nouga.
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"l'essentiel c'est le principal"
la secrétaire du collège
"le prince Opale le sent le Ciel" c'est ce que je crois, ce que je ressens!
Et puis, nicole nouga dit "quel sera le futur dessin?"
j'espère que je resterai un con pour les cons tant qu'il l'ouvre pas trop ça m'arrange aussi.
on est pas là pour se prendre des rincées! mais en même temps laisse moi doucement sourire!
l'important c'est que ceux qui comptent autour et loin de moi entendent... le reste c'est
Le lit de la rivière de la vase, en plus ![]()
Et puis si je fais rire pour de bonne ou mauvaise raison c'est un rire.
Dernière modification par MoonZ (01-12-2015 15:54:48)
Bravo à vous 2.
Moi aussi j'aime bien votre petit match de ping- pong.
Un rire c'est un rire il est le bienvenu en ce moment. (de toute façon, je me marre pour un rien)
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![]()
merci d'avoir mis les pieds dans ma bassine ![]()
dans ma cuve, ce sont les effluves
qui disent a ma jeunesse
qu'elle a pris trop tôt la tangente
que la vieillesse
me tanne la peau des fesses
il ne reste que des promesses
pour ma vie qui déchante
Dernière modification par nouga (01-12-2015 19:45:51)
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dans son bol, de riz, de vie
l'avenir d'un ciel gris
pollué, saturé, l'asphyxie
te guette, enfant qui brouette
la misère qui colle a tes souliers
usant ton corps déjà condamné
dans sa tasse, la vie ressasse
le prix à payer, vivre sa priorité,
elle, en tresse, mais déjà femme,
dont le corps offert, est son drame,
vis speed, vie sordide
pour ce corps macadam
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Raz le bol? j'ai une recette miracle, si cela peut t'aider.
tu prends un jeune disciple tenant une écuelle
cette écuelle a raz bord d'eau!
tu lui demandes d'aller dans une montagne genre ( Katanga = qui n'existe pas)
Le disciple cherche la montagne prenant soin de ne pas renverser l'eau
mais ne trouvant pas la montagne il revient sur ces pas
soudain le chef arrive et le disciple dit:
"bordel de crotte où qu'elle est cette fichue montagne, ça me vénère, vénérable!"
Alors le chef répond :
" c'est ta colère Katanga cher disciple"
le disciple dit alors:
" a quoi bon chercher ma colère "
et le vénérable répond:
" parce que toute chose à besoin d'être ressenti pour être lavé"
et depuis il y a un volcan qui a pousser à l'endroit de l'écuelle que les hommes vénèrent...
Dernière modification par MoonZ (02-12-2015 13:35:01)
J'aime beaucoup tes textes sur ta bassine Nouga!
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miss ![]()
ami MoonZ
dans ton écuelle, mon frère
ta part de mystères,
ceux a l'écart dans une venelle
entre un rêve éveillé
et une colère passagère
font de toi un être solidaire
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ça pique...
Si Ca Pique Et Colegramme ![]()
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J'aime beaucoup le texte de l'amphore... et l'idée en général de lister les récipients!
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Sylva merci, dans la lignée je continue
dans son assiette, profusion de denrées
mets recherchés, c'est tous les jours fête,
mais ce n'est pas la réalité
la majorité crève sous le poids des dettes
lui n'en a que faire
cet homme est milliardaire
dans sa jatte, l'éclat',
crème fouettée , un vice qu'elle acclimate
avec perversité, dans une vie
de luxure , son armure
elle n'est attirée que par la date
de sa prochaine teinture
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Oh la la, je ne sais pas où tu vas chercher tout ça...
Restent le bidon ou la bouteille, le verre, la casserole ou la marmite, etc.
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Moi je verrais bien le fond de la tasse et son marc de café. ![]()
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je prends note Sylva
maya la tasse déjà fait
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Oui mais pas le marc. A moins que j'ai raté le coche...Faut que je relise...
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lol, je me marre en lisant.
et le pot de fer?
te voilà pourvu de sujets, Nouga
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dans mon litre, ma vie de pitre
insouciance , outrecuidance
sur les chemins de l'école
aux rives de l'âge
une immense vitre
m'a offert sa pertinence
dans ma bouteille, mon grand père , sa treille
m'a donné le goût du vin.
de la conviction du partage
pour qu'enfin
en nous se réveille
l'idée que rien n'est naufrage
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J'aime bien la bouteille... et j'y vois même un message glissé à l'intérieur lors d'un naufrage...
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Comme un relais entre générations, le partage du meilleur.
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Que d'ustensiles !!!!!
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bises les filles
dans sa marmite, qui ou quoi crépite,
qui vraiment l'habite,
est-ce l'attrait pour avoir l'air,
ou l'air, dont nous avons besoin
paradoxe, de l'idéal simplifié
dans l'attente d'être exaucé
dans sa sébile, un regard scintille,
celui de son prochain
générosité de l'instinct
tout ce qui brille
donne faim , ainsi la fin
va, le reste, peccadille.
dans son gobelet, l'ado refait,
le monde a sa façon,
énième tentative,
cet âge a comme image,
le parfait de l'imparfait,
rêver permet, la prospective
dans son verre, elle énumère,
la liste, celle qui est la clé,
d'un bonheur en trompe l'œil,
quand sur la feuille
elle décrit ses angoisses
la nuit, comme cercueil
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nouga, c'est pas forcément un cercueil la nuit ou l'on cueille des écuelles servies par les soupires des rêveurs qu'on aimerait des nuits ne pas croire, mais on fait pas toujours ce qu'on veut. alors tu pourras emporter ça dans les valoches.
Je savais que t'en étais cap' !
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