Forum Grand Corps Malade et slam

Combien d'efforts pour nourrir l'espoir ?

On travaille dessus.
Le 1er mai, ce sera en musique à Aubenas.
Parce que la musique nourrit l'espoir, lui donne de l'élan.

Bravo Maya

+1

Superbes photos superbes auteurs donc superbes textes!!

Photo du 8 avril

Je crois pas que je sois réellement toute seule ici-bas
Toujours l'impression que quelqu'un veille sur moi
Donne-lui le nom que tu veux, aux dogmes je ne crois pas
Peut-être est-ce un barbu, une force de l'univers, Bouddah

Dans ma vie, j'ai été gâtée, graciée, comblée
Je me dois de trouver quelqu'un à remercier
Si je suis triste, j'entends une voix me rassurer
Je ne sais d'où elle vient, alors j'essaie d'imaginer.

Il y a tellement de signes dans ma vie
Quand j'étais perdue, un panneau de sortie.
A une seconde près d'une autre vie
Je ne pourrais l'expliquer sans la magie.

Tout ce qui m'est arrivé,
J'aurais pu le rêver
Mes erreurs m'ont façonnée
Il n'y a rien que j'ai à regretter.

J'ai peut être de la chance,
Mais je crois pas aux coïncidences
Quelque chose de plus immense,
Qui donne du sens à mon existence.

Je regarde les étoiles, la mer
D'où peut venir la terre?
La science ne me suffit guère
Pour expliquer l'extraordinaire.

Bravo

J'aime beaucoup.

Bien!

Sinon, Nouga, je n'peux plus suivre, tu vas trop vite à proposer de nouvelles photos. Je n'ai pas encore eu le temps d'écrire un texte sur la précédente.

Est ce toi qui a fait le montage, ou c'est une photo trouvée sur le net ?
très bien vue la photo et très bien vu le texte en tous cas

Et maintenant la photo postée par Nouga le 19 avril.

Veille !

Veille sur l'abeille, si belle
Et source de tant de bienfaits !
Offre lui tes plus jolies fleurs,
Choyées elles-aussi, sans pesticides !

Veille sur l'abeille, si belle
Et généreuse pour l'humanité !
Protège la de ses prédateurs,
Sans scrupules, à l'esprit vide.

Veille !

je veille, sentinelle de la raison

bravo Maya

nouga a écrit:

https://nsa39.casimages.com/img/2018/04 … 658663.jpg

Abril, tu m'entends, c'est sérieux ils parlent de révolution au poste
ils veulent tout casser, que cesse la dictature, tu te rends compte
que nous les femmes aurons droit de vote, tu m'entends

Maria ne rêve pas trop, tu sais les hommes après quelques verres
ils te promettent la lune, sont prêts à vendre leur âme, puis se rendorment
tu les connais pourtant

non, mais cette fois c'est sûr ils veulent aller jusqu'au bout

au bout de quoi, de la rue, ma pauvre t'es vraiment naïve

naïve moi , combattante ma chère, et si t'en faisais autant au lieu de dénigrer
on avancerait

moi je dénigre, je te rappelle simplement que çà fait des lustres que leurs belles paroles s'envolent, sitôt que les chars sont de sortis

bon alors comment on s'organise en attendant, c'est ton tour de repeindre le mur,ne met pas trop de rose, ils n’aiment pas

je vais le faire caca d'oie leur mur, ils auront l'odeur comme çà

ah tu vois que tu te révoltes

je vis tout simplement

ok , dit à Leandro de ne pas tarder, je suis encore en panne de machine à laver

lave a la main, il est rentré bourré, comme d'habitude après sa réunion, ou il était question
de revoir la place des femmes dans la société,

allez tchao je vais au marché, je te prends les légumes en passant

oui t'es gentille , et si tu vois les rebelles , n'hésitent pas, prépare-leur des empanadas çà les rend amoureux


au fait je t'ai bien eue avec la révolution, MDR

allez file y va rien rester

Je viens de relire, ça contribue à la réflexion...
Ceux et celles qui ne se lancent pas dans ces ateliers d'écriture ne savent pas ce qu'ils et elles perdent.
Je réfléchis encore à mon texte...A bientôt!

je te reconnais le poing levé conte l'injustice, prête au combat
la rue est ton manège, alors sur ton cheval de bois
tu y crois encore

bravo

Super Maya.
Un poème de Louise Michel avec ça ?
Ok.

Merci amis lecteurs! Merci aussi pour la citation! Dommage pour la faute.

surreprésentation du moi, de l'ego en forme de corps a vendre
tout se vend, même l'âme, au prix fort, juste s'entendre
sur le sens supposé ou le réel ancré, sur des poses exubérantes
ou la représentation revêt ou non des habits de lumière attirantes

le doute n'est pas permis, au même titre que l'ennui cet ennemi
vaincre ses états d'âme , est l'histoire du coq à l'âne, cet extraverti
dont les gestes sont des ecchymoses, pour plus de transes
et les lendemains d'équivalence dans la tourmente de la violence

entre la trompe, le tentacule, on émascule la virgule cette obsédée
dansant sur les cimes, au péril de crimes, commis avec le procédé
qui consiste à écrire la liste de noms en sursis , ceux d'indociles
dont on dit qu'ils exigent d'avoir l'éternité, mais sans les imbéciles

viendra ensuite le temps, cet imposteur aux mille visages, présage
aux histoires enfouies puis par un effet maîtrisé du verbiage
il se racontera çà et là des anecdotes, des rumeurs, des prises de bec
afin d'en finir avec le paraître, et les interminables salamalecs