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yeah man
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merci nouga et Itess pour la vidéo
MoonZ a écrit:
"elle a dit au revoir lÃ
il fait froid comme mort
en elle tout sommeille."
Quelques pas, une porte à franchir et l'espoir à saisir.
Au delà du deuil
Des jours et des jours de repli sur elle-même,
A pleurer son âme sœur, à se repasser le film
De tous leurs moments d'infinie tendresse,
A les retenir encore un peu, Ã s'y noyer.
Des jours et des jours de doute, de fuite
A se fermer aux gestes et mots des siens,
Dans le brouillard total et le désespoir,
Dans l'incapacité à recevoir leur réconfort.
Puis un jour les paupières se soulèvent,
Un souffle d'air pur sèche les larmes,
Dans ce mur de briques sans fenêtres,
La porte est là , invitation silencieuse.
Toute de noire vêtue sur les marches,
Elle entame la remontée, main tendue,
L'amour transcendé, le cœur palpitant,
Prête à se retrouver, à revivre enfin.
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Vraiment touchant, bravo à toi
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l'espoir ne meurt jamais Maya, bravo
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c'est doux et délicat
J’hésite entre ouvrir et laisser fermer
il y a des jours ainsi, ou l'on hésite
pourtant rien ne laisse présager pourquoi
on hésite sans réel choix
aujourd'hui est similaire a hier, a demain
et hier je n'hésitais pas
quant à demain, c'est loin.
quoi qu'il en soit
cette interrogation reflète un état
comme si hésiter
voulait imposer son dictat
nous maintenir sous sa férule
avec ses tiraillements
ses aléas .
mais si c'était pour mieux faire
cette suggestion interpelle
mieux faire quoi
tout
pourtant on ne se refait pas
on évolue
seulement voilÃ
quand c'est un jour d'hésitation
on attend la solution
et aujourd'hui je ne l'ai pas
alors j'hésite
Dernière modification par nouga (25-07-2018 19:04:39)
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La réflexion suivi du choix prend vite le pas sur l'hésitation. Rejeter les doutes est une question de survie, enfin pour moi, y'a là -dessus aucune hésitation. Je comprends bien que c'est juste un passage et que la porte n'est jamais fermée à clef.
Dernière modification par Maya (17-05-2017 11:14:34)
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hésiter à des complices, comme choisir à ses impondérables
et comme tu dis ne jamais laisser fermer la porte à clef
je te laisse cogiter ton texte sans hésitations
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Oui, bien sûr...j'y pense déjà ...et dès que j'ai le temps, je poste.
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pareil j'hésite
Impro' ?
Ok.
Au lieu de faire le pitre,
De me mater derrière la vitre,
Frappe à la porte, entre. Je t'invite.
Installe-toi. Les carottes sont cuites.
Plutôt que de m'espionner,
Assieds-toi pour me parler.
J'ai des choses à te raconter.
Que veux-tu savoir, néné ?
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c'est ta voisine qui hésite
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C'est sûr, t'en as des choses à dire à qui veut bien franchir la porte
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de ma fenêtre, je toise les êtres , ces étranges créatures ont la vie dure
pendant que moi , croulant sous un confort ostentatoire je me marre
mon bien être avant tout, je suis le digne héritier, et ma fortune
fait des envieux, je le sais, mais rien pour les autres ces tares
ils avaient qu'à naitre au bon endroit à la bonne heure, de bonne lignée
et le tour était joué,. Mais voila ils ne font aucun effort ces rustres
c'est quand même un comble , non, enfin il se complaisent sans succès
au banc de la société, les manants, et çà dure depuis des lustres
Bon je vous laisse , ma masseuse arrive , la vie des nantis, what else,
nothing, tout va bien je vais bien
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Un pseudo témoignage criant de vérité. En effet tout va très bien pour certains...
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bravo à vous
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Invitation.
Ouh ! Ouh !...oui, toi ! Ne vois-tu pas que je t'appelle ?
Je t'invite à découvrir mon univers sans plus attendre.
Le temps est compté pour toi, moi et tous les autres.
N'aie pas peur, les méchants ne sont pas de ce côté.
Tu trouveras des réponses à tes questions vitales,
Et si tu poursuis par toi-même l'étude des faits,
Tu trouveras des solutions et l'espoir qui va avec.
Tu viens ?...Mais oui, tu peux me faire confiance.
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Toi, j't'invite pas, t'es déjà là .
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super
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Il y a eut ce jour
Il y a eut ce jour,où, j'ai secoué la tête trop longtemps
elle s'est cassée tout droit sur mon épaule et a roulé dans la rue
Quel soulagement que de se débarrasser de cette chose
Je ne remarque même pas l'odeur des gardénias ou de l'essence
maintenant je vis autrement, avec des idées nouvelles
comme un ectoplasme dans une demeure ancienne
où l'odeur de la cire s'est transformée en fragrance douteuse
et mes jours sont une succession d'expériences iconoclastes
bien évidemment dans cette chevauchée hors norme
mes rencontres voisinent avec des envies apocryphes
je recèle les opportunités au plus offrant, au plus aimant
en invoquant avec moult convictions l'étrange paradoxe
l'avenir se teinte d'illusions colorées, de mots abscons
l'itinéraire se prends à imaginer des ornières boueuses
la soif de connaître navigue entre deux partitions inachevées
les heures tremblent, quand l'horloge égrène ses sons
vivre a la saveur d'un flan sur un soupçon de chantilly
chaque instant se vend à l'étal des faiseurs d'argent
le corps devient l'enjeu d'une comédie sans spectateurs
les entractes s'enlacent, pour mieux exulter cette parano
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c'est très évocateur bravo! et la photo est curieuse aussi
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En effet superbe texte, bravo! Dommage qu'il faille perdre sa tête pour appréhender la vie autrement.
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+1! Il en dit long ce texte !
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