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passe moi ta plume pierrot
Tu crois être un poète, un héros
Je crois que je veux recopier
l'encre est celle de ton coeur.
Je nais. Pas le temps de savoir
Ou le paraitre, j'existe... noir.
Dernière modification par MoonZ (29-03-2017 11:29:00)
Sympa.
Duel à la savate
Habillé costume/cravate.
Pendant qu'on nous matte,
Moi, j't'éclate
A grand coup de latte
Dans les pattes.
Dernière modification par ITESS (30-03-2017 17:04:44)
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cool les deux textes, pour les autres voir la nouvelle photo (page d'avant
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T'inquiète Nouga, c'est vu. 2 premiers textes courts, et percutants comme ce qu'inspire ces illustrations. @+
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Quel style! Quelle élégance! Quel maintien!
Messieurs, soyez raisonnables!
Vous me plaisez tous les deux,
Je ne veux point avoir à choisir,
Votre complémentarité me comblera à ravir...
Stop! Je prends les deux ou personne!...
Trop tard!!! Mais qu'avez-vous fait, pauvres de vous!!!
Me voilà inconsolable.
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oh duel épilogue
d'un corps à terre
ou l'ego s'est abaissé
dans une comédie absurde
d'une mort navrante
oh duel sarcastique
d'ego en terrain connu
laissant l'impression risible
d'une farce amère
sans espoir de retour
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vraiment bien
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Petite gourmande, ma jumelle !!! Moi j'en veux pas, ils fument tous les deux
Ah, vous, vous êtes bien des mecs,
Pour vous battre ainsi en duel,
Sans faire de salamalecs,
Alors que la vie peut-être si belle...
Au lieu de vous servir de vos pointes
Pour combattre, pour vous blesser,
Transformez-les en plumes remplies d'encre
Et battez-vous sur le papier...
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Bien vu!!!
En lisant ta remarque, ceux qui débarquent ici par hasard vont vraiment nous prendre pour des jumelles.
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Pas grave Maya, comme ça ils essaieront de comprendre et trouveront nos textes
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SylvA a écrit:
Pas grave Maya, comme ça ils essaieront de comprendre et trouveront nos textes
Pas bête! Sinon, tu viens quand dans l'atelier "Viens voir"? Nouga vient de déposer la première strophe d'un second texte. Le premier est chouette.
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J'avoue que j'ai du mal avec ce registre... Je vais re-regarder...
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Et pourtant...quand je lis le duo que tu as partagé avec Iro Ize...
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Pas faux... Tout est une question d'état d'esprit... Aujourd'hui je passe rapidement puis m'octroie une RTT au soleil, mais peut-être un de ces jours...
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Profite bien SylvA
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Ca y est j'ai attrapé mon premier coup de soleil
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Manque plus que le coup de je t'aime Sylva!
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SylvA a écrit:
Ca y est j'ai attrapé mon premier coup de soleil
Je me demande ce que ça va provoquer comme écriture...
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voyez vous ma chère, le dernier cri, de cette société pornocrate
reste l'extravagance , d'ailleurs j'en suis la preuve vivante
mon porc se prénomme Félicien , clin d'œil au maitre
dont ses desiderata sont des ordres qui me font fondre
en sculpture l'art se veut aventure, a ce qu'on murmure
en musique l'art des paroles serait plus érotiques
en poésie les mots assènent des scènes d'orgies
ce tableau est donc une peinture de nos mœurs
et moi la gardienne des secrets de ceux qui fantasment
Dernière modification par nouga (10-04-2017 11:18:32)
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Ce changement de registre semble te coller comme un gant.
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c'est bizarre en bas de l'image les muses accablées
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Joli.
A moi, en impro'.
L'art ne s'interdit rien.
C'est pour ça qu'il va plus loin.
Il affiche haut, grand et fort
Ce qu'on pense tous, dès lors.
Une création motivée
Par la marginalité.
Le temps intègre la différence
Dans les mœurs, sans préférence.
Il est ce qu'on est.
Il est l'humanité.
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ronge et rage muse la reine, la qui trime
qui se supprime à chaque respiration
Besoin d'inspiration de rognon de porc en apéro
De rêves genre art-déco, dans les bras porcelaine
D'une porcine qui aime le sport en Indoor, je l'adore
Elle est dominatrice, je suis un coup de fouet admiratif
Bandez vous yeux ouvrez les écoutilles on arbore
Les couleurs d'une sex tape avec la reine des étoiles
Elle s'appelle arianne elle aime ses tétons qui pointent
Quand devant l'improximatif d'une info qui dépeint le dépit
Des pétins et pédants, qui dépriment nos primés de l'envie
Je dévie de ma vie des défis pour le déni de nos idéaux dits
J'ai des mots maléfiques des maux magnifiques des cris creux
Des creux des arabes presque de poésie de danger à tanger
Je suis sur mon axe, je cocotte toujours en papier, je me parfume pas
C'est les morts qu'on embaume, et les paumes qui claquent les arts narguant
Nos Ché gévarart nos zavatiste nos hercules au poirrot bien tendus
On est la bandaison d'un arc de triomphe pour le bonheur dégeulasse
Des gueux des passant des gens pas classe des gras du trip, des bides bouddhistes
des types cinglés des filles toujours trop jolies pour pas leur rappeler
Que dans chaque poète se cache sous la peau une urètre,
C'est comme un gland mais avec l'urgence d'être maitre du 35 centimètres
J'ai une prose poétique Sifrédienne, je parle pas avec les assistés freudiens
Je n'ai de totem et tabou que des rêve à taton et des tétons en tirbouchons
Je suis un tire au flanc, dans le flonflon je fantasio mes courses au temps
Je suis dans une spirale à contreverse, contre mes verset des versants des vers tendres
J'ai dévoré des voraces des volontés vaines, des vivants tout crus, des vie d'rue à cran
D'arrêt et scolarité déçue la poésie recrute des destins tragiques et trajectoire échappée
Sinon pourquoi? simplement parce que les mots sont dans ceux qui savent être happer
Par un silence un mouvement une ombre un instant, un appel des esprits une baise avec l'infini
Ouh la la Nouga, où est-ce que t'as été nous chercher cette image...
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bravo les frérots
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