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Ce n'est pas une création de ma part, c'est l'explication trouvée sur Internet, désolée de ne pas avoir précisé
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J'avais compris SylvA, merci, j'ai appris quelque chose!
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expression désuète, mais charmante
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SylvA, Itess te félicitait peut-être pour le recueil...
Bon, il nous reste encore à faire.
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(impro)
"J'ai mal de gorge, j'ai mal de gorge"
disait le diable sur l'église St George
"Mal de gorge depuis si longtemps....."
Un jour de Noel, Bonhomme l'entend,
Et lui descend une boule de gomme
le diable sourit, "Merci Bonhomme!"
Mais le diable est en pierre, ne bouge
pas d'un poil. Comment se saisir de la boule?
Mystère !!!
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Mais tu sais que tu es bonne aussi en impro.
En voilà une qui répond bien au sujet, n'est-ce pas SylvA?
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Sympas Nicole!
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Vraiment top Nicole !
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super Nicole
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Ah oui super, c'est le seul texte jusqu'ici qui boucle la boucle!!!
Et bientôt, avec le froid de canard qui nous tombe dessus, on va en avoir besoin, des boules de gomme...
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Merci.
Oui pour le froid, ça fait bizarre d'un coup
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j'ai les boules dit d'un ton désabusé un jeune un peu largué
et moi la gomme rétorque le pilote en forme de Té
associons nous , ce sera le mariage des opposés
comme mystère , il y a mieux; mais faut payer
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Bon, on prend, puisque c'est gratuit
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ah le mystère de l'argent
obsession ou désillusion
çà dépend, si tu paies comptant
ou si le crédit fait abstraction
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nouga a écrit:
j'ai les boules dit d'un ton désabusé un jeune un peu largué
et moi la gomme rétorque le pilote en forme de Té
associons nous , ce sera le mariage des opposés
comme mystère , il y a mieux; mais faut payer
Nouga qui deviendrait intéressé, je n'y crois pas un instant. Donc j'attends un p'tit développement.
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qu'importe la vérité
ici bas tout devient possible
question de cible
a chacun son karma, femme désintéressée
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Moi, c'est la forme du pilote qui me plonge dans le mystère
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Bravo Nicole et Nouga ! Les anciens dérouillent !
J'obéis pour cette fois ! Mais faut pas croire que ça marchera à tous les coups ! Hein m'dame ?
Au bord de l'eau, une barrière sur l'horizon,
Deux yeux vides qui observent comme un démon.
S'entrelacent et filent les voies de la vie
Dans la brume des sombres envies.
Se reflète, dans l'eau, notre vision du monde,
Claquent les clapotis d'une barque immonde.
Dans l'étang de nos rêves, à jamais perdus,
S'accroche l'arbre à fées, sur un esprit tordu.
Un terrible dragon crache son feu brûlant
Sur les restes d'espoirs encore chauds et fumants.
Le ciel glaciale enveloppe les amours naissant,
Sur leur branche de salut, les oiseaux de printemps.
La neige couvre de silence les bois charmants,
Au loin, monte la fumée d'un géant méchant.
Réfugiés dans leur pauvre demeure illusoire,
Les vivants, tristement, jouent la musique d'un soir.
Le maître des éléments, attend patiemment,
Sa canne déclenchera les événements.
Certains artistes tentent de changer l'inexorable,
Inventent des histoires, des contes et des fables.
Les trölls, en devanture, parcours des grimoires ;
Une ombrelle ne suffira pas pour la gloire.
La fée de l'hiver, grimée, poudrée de blanc,
Immobile et hypnotique, attends son temps.
Le manège enchanté s'est vidé de ses enfants,
Les animaux de bois tournent dans le vent.
Loin, en Orient, dans un palais, se réfugient
Les princes et les esprits des arbres fleuris.
Les foules, anonymes, tentent d'oublier,
Nier, disparaître, comme dans un sablier,
Ou bien regarder le ciel et s'interroger,
Réfléchir ou prier, obéir ou déroger ?
Respecter les coutumes, l'ordre et les croyances ?
Demeurer esclave ou délier son existence ?
Prendre ses jambes à son cou, observer ou fuir ?
Se réfugier dans les hauteurs et voir venir.
Mais les engoulevents ont le ventre qui gargouille,
Grognent comme des cochons entrant dans leur souille.
Ce soir, les enfants auront la boule au ventre,
Espérant, vainement, que les démons demeurent dans leur antre.
A plus ! Bises !
Dernière modification par Daniel de Blanc-Mesnil (19-10-2016 20:16:06)
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Wouah! Je pensais juste à la dernière photo et tu nous offres la panoplie. Bel esprit de synthèse! C'est très fort, bien sûr et ça mérite d'être lu plus d'une fois. On redécouvre les différentes photos à travers le regard que tu as posé sur elles.
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C'eSt vraiment top Daniel ce que tu viens d' écrire la ! Tu peux me donner des cours??
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Daniel de Blanc-Mesnil a écrit:
Bravo Nicole et Nouga ! Les anciens dérouillent !
J'obéis pour cette fois ! Mais faut pas croire que ça marchera à tous les coups ! Hein m'dame ?
Au bord de l'eau, une barrière sur l'horizon,
Deux yeux vides qui observent comme un démon.
S'entrelacent et filent les voies de la vie
Dans la brume des sombres envies.
Se reflète, dans l'eau, notre vision du monde,
Claquent les clapotis d'une barque immonde.
Dans l'étang de nos rêves, à jamais perdus,
S'accroche l'arbre à fées, sur un esprit tordu.
Un terrible dragon crache son feu brûlant
Sur les restes d'espoirs encore chauds et fumants.
Le ciel glaciale enveloppe les amours naissant,
Sur leur branche de salut, les oiseaux de printemps.
La neige couvre de silence les bois charmants,
Au loin, monte la fumée d'un géant méchant.
Réfugiés dans leur pauvre demeure illusoire,
Les vivants, tristement, jouent la musique d'un soir.
Le maître des éléments, attend patiemment,
Sa canne déclenchera les évènements.
Certains artistes tentent de changer l'inexorable,
Inventent des histoires, des contes et des fables.
Les trölls, en devanture, parcours des grimoires ;
Une ombrelle ne suffira pas pour la gloire.
La fée de l'hiver, grimée, poudrée de blanc,
Immobile et hypnotique, attends son temps.
Le manège enchanté s'est vidé de ses enfants,
Les animaux de bois tournent dans le vent.
Loin, en Orient, dans un palais, se réfugient
Les princes et les esprits des arbres fleuris.
Les foules, anonymes, tentent d'oublier,
Nier, disparaître, comme dans un sablier,
Ou bien regarder le ciel et s'interroger,
Réfléchir ou prier, obéir ou déroger ?
Respecter les coutumes, l'ordre et les croyances ?
Demeurer esclave ou délier son existence ?
Prendre ses jambes à son cou, observer ou fuir ?
Se réfugier dans les hauteurs et voir venir.
Mais les angoulevents ont le ventre qui gargouille,
Grognent comme des cochons entrant dans leur souille.
Ce soir, les enfants auront la boule au ventre,
Espérant, vainement, que les démons demeurent dans leur antre.
A plus ! Bises !
Comme très souvent avec tes textes je les entends en les voyants. J’aime beaucoup ce côté rebondissant, tournoyant.
(Attention, ces petits oiseaux qui gloutonnement engloutissent la multitude d'insectes dans le vent sont des engoulevents leur nom vient de là . ils volent le bec ouvert pour engloutir le vent. )
A+JYT
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Chapeau, je ne me souvenais pas de toutes les photos d'avant. Comme Sylvie, j'aimerais bien écrire comme toi !
L'histoire coule comme si elle était unique, et elle est multiple
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le droit ?
j'imagine que chacun fait comme il veut
Mais ça me fait marrer parce qu'un jour il y a longtemps j'ai posté un texte tellement perso que je ne voulais pas avoir de commentaires parce que j'avais peur qu'ils ne soient pas sincères (je crains par dessus tout les renvois d'ascenseur) j'avais fermé la discussion, même.
Un truc de gosse, quoi, lol. J'avais rouvert apres.
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J'ai beaucoup apprécié Daniel!
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C'est vrai qu'il ne se débrouille pas mal. Encore 5 ans et ça devrait être presque parfait.
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Moi, c'est la forme du pilote qui me plonge dans le mystère
Nicole tu sais qu'un T c'est un pilote de ligne
bravo Daniel
Les foules, anonymes, tentent d'oublier,
Nier, disparaître, comme dans un sablier,
Ou bien regarder le ciel et s'interroger,
Réfléchir ou prier, obéir ou déroger ?
what else, reste le contentement de soi
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ben non, je ne sais pas cela
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