Vous n'êtes pas identifié.
est-ce que nos rêves nous fondent, est-ce que tu me sondes
Cendres d'hiver, couleur de printemps, mourir de joie, c'est ma fronde
Je fuck toute leur tentations aimer et vivre ça c'est ma vie, tu vois
Je suis heureux, c’est étrange, les mots me quittent, saloperie d'alcoolique
Ma mécanique à l'elan-bic, graisse la page comme pour un backshich
Ma chitine mon genre je pourrie sur place, mais j'ai le hashchich
Le sourire des miens, un moment paradis, et que tu prennes ce genre de chose
Est impensable, impossible, je sabre et file mon destin, comme une teil'
Ma team est fait de thème qui rétame les tenants et aboutissant d'un système sinistre
Je perds mes vers, mais persévère, et ça veut pas dire que je vous aime
ça veut juste dire, à quand la prochaine. l'âme traine assassine maestro
Dans mes mains cognent des forces élémentaires, je me réapprends
Par pitié, souvenons-nous de ça, moi, ça me donne une puissance de boss
Je bazarde toute cette vie craignos je suis un enfant nu devant vous
Messieurs dames, un slam pour des flammes dans mon esprit perturbé
Ma vie je vais, je crois, je viens, de-là , ballade de bitume et d'acier
Casser dans mes pensées par le poids de la vie, c'est plus fort que toi
Sale chagrin, la vie, la vie te répudie annihile, te brise, ma vie est belle
La terre ronde, les gens sont bons quand les étoiles les veillent
Magie de l'humanité mes mots s'efface, la lune passe, et le soleil prend place
Nous perdons nos peaux de chagrin, nos amours malsains
Le soir est un royaume magnifique, sur la musique des hommes
Je vis, je viens, je sais, j’y vais, je veux, j’y crois, alors j’essaye
Mais en vrai, c’est le ciment entre l’âme et l’immense.
Humain c’est des mots qui claquent et prennent, entrainent et tonnent
On rêve, on parle, moi je voulais juste être olivier aton
C’est tard, tétard me voilà albatros, on revient de loin, ouf !
Je casse des briques avec la tête ma vie est une grosse pouf
Mais putain, je l’aime traine pas dans mon vide, je suis sombre
Sabre de pilot je décompte les miracles possibles en une vie, une nuit
Bruit d’aile d’ange, changer quoi ? Je triche avec mon diable
Dans un jeu extraordinaire entouré de gens beau c’est indéniable
L’époque est pâle, pêle-mêle, on confond, tout pour rien
Au fond, tous pour un, un pour tous, c’est déjà bien.
L’âme remonte comme une lame de fond, S.L.A.M
Est-ce elle là -même, le bonheur sur slim on s’arme
Pour les guerres de demain, portées à bout de bras
Par les bro’ trop de croque-en-jambe pour les gars
Ça ma stresse, prise de son dans un état second
Je démonte les casse-couilles comme les casse-tête
faire des ponts entre les hommes
apaiser mon esprit sous le grand dôme
soupire mon amour, souffle le vent
il est temps, que le soleil se lève,
sur les toits, à la fenêtre
Le peintre me décrit la bonté de l'être
qui se distingue dans la teinte
ni trop peu, ni trop de nous
Ne restera de ce spectacle magnifique
et si mes mains peuvent aidé
Le soir venu a porter ton fardeau
mon ami, mon amour, mon frère
Oui, mon frère, la lumière se voit
m'a décrit le peintre et sa muse
marchons un peu, ce chemin lÃ
c'est pas un chemin très long
mais c'est bien, c'est mon chemin.
jouer près de la mer,
avec des sourires
parce que demain,
je veux rire de tout ça
de ce pas de côté.
je t'écoute mais rien qu'une poésie
oh! si peu, un peu de chaleur
qui me donne la force de croire
que chaque jour est meilleur.
nous n'irons pas bien haut, bien loin
avec nos césars et nos brutalités
c'est vrai, ce monde n'est pas si joli
Mais il m'a vu grandir, je peux parler
de la mer sur le sable qui remue nos idées
je peux soulever de terre un géant futur
embrasser ma mère, défier mon père
pleurer un peu, pour apprendre à rire
j'ai compté sur mes doigts les pierres
d'un murs, il y en avait 1769.
mais je n'ai jamais appris à donner
que voulez-vous, je suis un poète
Ma bonne mère me voudrais à 4 épingles
Mais, le truc qui me fait le plus de bien
C'est jouer près de la mer,
avec des sourires
parce que demain,
je veux rire de tout ça.
et marcher à tes côtés.
Dernière modification par MoonZ (15-06-2015 17:02:35)
j'aime les souvenirs et l'élan que ça donne
Hors ligne
D'accord avec Itess et Nicole.
" Je perds mes vers, mais persévère" C'est bien ça! L'inspiration ne te quitte jamais bien longtemps, malgré tes craintes. Par contre je ne comprends pas pourquoi tu dis "et ça veut pas dire que je vous aime". Ce n'est pas la première fois que tu exprimes cela. Quand je t'ai vu, mais je le présentais, j'ai au contraire ressenti que tu nous aimais un peu tout de même. Bises.
Hors ligne
Cette sensibilité me scotch, c'est très beau et j'aime cette "bataille" entre une réalité parfois brutale et un espoir... qui ne perds pas espoir. Et le mieux dans tout ça c'est que je t'entends et que je te vois en lisant
Hors ligne
merci a vous et rig y a plein de gens ici, qui veulent vivre le forum, passe plus, ça fait du bin!
bien écrit l'ami
bravo
Hors ligne