Forum Grand Corps Malade et slam

un duo avec le temps, ou chacun a tant a dire, une danse , une sarabande, des encouragements, un avenir, des désirs, l'engouement
voila la valse du temps avec vos mots sans ego

bravo a vous deux
bises

Merci à vous 3! Merci à MoonZ ne m'avoir proposé ce duo qui m'a ravi. Ce n'est pas simple à faire mais c'est exaltant. Il faut aller l'un vers l'autre et essayer de se comprendre le plus possible. Avec ces ingrédients, on fait au mieux.
Merci Nicole, j'ai corrigé. C'est toujours un plaisir de progresser grâce à vous.

J'aime beaucoup ce "mariage", cette jolie danse.

mais euh c'est t plus joli alors je me cache dans une valise pour Dam' avec les amster et la grande roue.

Très beau duo. Belle dance....

C'est très beau, un slam plein de grâce!

Un jour MoonZ et moi le dirons ensemble.

c'est un moment douloureux, pour moi et maya à su me remettre debout avec ce duo pour tout dire

intermédiaire a écrit:

Les mots guérissent les maux...

je me souviens que MC BOULETTE disais c'est un  peu bateau à Maya je crois...

Parce qu'un mot pansement c'est pour les bleus à l'âme... madame sagan minipouce!

les mots sont des pansement pour les bleus à l'âme mais l'humanité la soigne.
Nous écrivons parce que nous sommes parti de l'humanité et pas la moins pire à lire.

DES BLEUS A L'AME  de madame FRancoise sagan c'est un livre minipouce intermédiaire

Dernière modification par MoonZ (20-12-2015 17:27:09)

les mots sont des pansement pour les bleus à l'âme mais l'humanité la soigne.
Nous écrivons parce que nous sommes parti de l'humanité et pas la moins pire à lire.
Donc on écrit tous notre propre traduction de nous même?
Où cherchons nous a trouver  dans les autres ceux qui nous aiment?

Depuis que je suis lui:

Dernière modification par MoonZ (20-12-2015 17:42:03)

les mots sont des pansement pour les bleus à l'âme mais l'humanité la soigne.
Nous écrivons parce que nous sommes parti de l'humanité et pas la moins pire à lire.
Donc on écrit tous notre propre traduction de nous même?
Où cherchons nous a trouver nos dans les autres ceux qui nous aiment?
Peut être cherchons nous juste à nous offrir de nouvelles réalités, à ouvrir des portes à la volée, pour sentir la diversité de ce que l'on peut atteindre.
J'aime dépeindre ce qui me ravit et slamer ce qui me brise mais suis je ma peine et ma joie
Au fond les gens ne prennent que ce qu'ils entendent moi, j'aime les coquilles dans l'omelette
Ça donne l'idée du fait main.

j'ai perdu son nom : je me rapelle c'était un guedin avec plein d'idées débile.

les mots sont des pansement pour les bleus à l'âme mais l'humanité la soigne.
Nous écrivons parce que nous sommes parti de l'humanité et pas la moins pire à lire.
Donc on écrit tous notre propre traduction de nous même?
Où cherchons nous a trouver nos dans les autres ceux qui nous aiment?
Peut être cherchons nous juste à nous offrir de nouvelles réalités, à ouvrir des portes à la volée, pour sentir la diversité de ce que l'on peut atteindre.
J'aime dépeindre ce qui me ravit et slamer ce qui me brise mais suis je ma peine et ma joie
Au fond les gens ne prennent que ce qu'ils entendent moi, j'aime les coquilles dans l'omelette
Ça donne l'idée du fait main.

Ça donne l'idée de l'échec dans les plus belles réussites
Roseau tordu contre le vent. Il gagnera toujours.
Et tant que le soleil sera le coeur de ce monde la pluie sera le reflet de la lune.
Parce qu'il y a toujours une étincelle d'espoir dans des yeux larmoyant.
Parce que la terre est ronde mais pas tout à fait quand même.

Je pleure et je parle à l'océan et je serre très fort en moi mon coeur
Pour arrêter le ressac ne serais-ce qu'un instant c'est mon rêve
Inverser la marée changer les larmes en rire, mais je ne peux pas
Les blessures les brûlures subies subsistent, nous sommes fait
De vent et de lumière et de toutes ces choses qui nous consument
et nous consolent, alors j'ouvre les yeux! je regarde l'Océan digne
Les dames vagabondent tombent de l'horizon porteuses d'un message
Elles disent toujours souviens-toi, MoonZ, toute ces choses qui te parlent
Elle t'écoutent et elles pleurent comme tu pleures et rient comme tu ries
Il faut entendre ça, que jamais la vie ne s'arrête. Personne Sia n'a besoin
De marcher sur l'eau pour être heureux et intermédiaire tu seras pas
Plus heureuse meilleure crois-moi! jamais ils ne le voudront mais...
Il faut que tu sois Toi, toujours et encore, pour battre comme le ressac
Les mauvais rêves et comme la Lune fait les courants, moi je te regarderais
Je le jure parce que la Terre et la Lune sont comme des soeurs.

Dernière modification par MoonZ (20-12-2015 18:37:27)

es mots sont des pansement pour les bleus à l'âme mais l'humanité la soigne.
Nous écrivons parce que nous sommes parti de l'humanité et pas la moins pire à lire.
Donc on écrit tous notre propre traduction de nous même?
Où cherchons nous a trouver nos dans les autres ceux qui nous aiment?
Peut être cherchons nous juste à nous offrir de nouvelles réalités, à ouvrir des portes à la volée, pour sentir la diversité de ce que l'on peut atteindre.
J'aime dépeindre ce qui me ravit et slamer ce qui me brise mais suis je ma peine et ma joie
Au fond les gens ne prennent que ce qu'ils entendent moi, j'aime les coquilles dans l'omelette
Ça donne l'idée du fait main.

Ça donne l'idée de l'échec dans les plus belles réussites
Roseau tordu contre le vent. Il gagnera toujours.
Et tant que le soleil sera le coeur de ce monde la pluie sera le reflet de la lune.
Parce qu'il y a toujours une étincelle d'espoir dans des yeux larmoyant.
Parce que la terre est ronde mais pas tout à fait quand même.

Je pleure et je parle à l'océan et je serre très fort en moi mon coeur
Pour arrêter le ressac ne serais-ce qu'un instant c'est mon rêve
Inverser la marée changer les larmes en rire, mais je ne peux pas
Les blessures les brûlures subies subsistent, nous sommes fait
De vent et de lumière et de toutes ces choses qui nous consument
et nous consolent, alors j'ouvre les yeux! je regarde l'Océan digne
Les dames vagabondent tombent de l'horizon porteuses d'un message
Elles disent toujours souviens-toi, MoonZ, toute ces choses qui te parlent
Elle t'écoutent et elles pleurent comme tu pleures et rient comme tu ries
Il faut entendre ça, que jamais la vie ne s'arrête. Personne Sia n'a besoin
De marcher sur l'eau pour être heureux et intermédiaire tu seras pas
Plus heureuse meilleure crois-moi! jamais ils ne le voudront mais...
Il faut que tu sois Toi, toujours et encore, pour battre comme le ressac
Les mauvais rêves et comme la Lune fait les courants, moi je te regarderais
Je le jure parce que la Terre et la Lune sont comme des soeurs.

Grand frère si tu me promet que tu seras là, on se battra.
J'ai besoin la lueur de la lune pour retrouver l'humanité, parmi tous ces chemins de cruautés et de peur.
J'ai toujours eut peur des nuits sans lumière.
On dévoilera nos ailes.
Doucement, sans froisser ces parures fragiles qui nous poussent à aller toujours plus haut, toujours plus loin. Qui font de nous des POÈTES.
Des êtres qui ont compris qu'il fallait ouvrir toute les portes sans les refermées.
Et se laisser inonder par la lumière de nouvelles perceptions.
Qui savent un peu malgré eux que la mer est un peu leur mère et que c'est souvent le vent qui fait courir leur plumes.
On se battra pour nos idéaux parce qu'on a encore de l'idéal, on essayera de nous sortir de ce système féodal. De la loi du plus fort qui écrase et qui nous brise les ailes.
On rira au nez des conventions, on inventera autour d'un chocolat chaud de nouvelle lois et de nouveaux mots.
On créera du désordre là où tout était bien rangés et on réorganisera les idées abandonnées.
On abandonnera jamais nous. Jamais.
Parce qu'on est vivant et qu'on aime le parfum de la nuit.
Parce qu'on est vivant et qu'on tombe nous aussi
Parce qu'on est vivant et qu'on se relève malgré tout
Parce qu'on est vivant et qu'on veut être sans avoir peur
Parce qu'on est vivant et qu'être poète c'est être une lueur
Parce qu'on est vivant et que les ronces entourent les plus belles roses
Parce qu'on est vivant et que les Hommes ont besoin de nous
Parce que la Lune a envoyé un rayon de lumière à la Terre quand il faisait nuit noire.