Vous n'êtes pas identifié.
Un puissant rire! que rien n'arrête vraiment.
Sont-ils convaincus d'avoir raison?
Sont-ils heureux maintenant, que je suis parti?
Ils ont grandi? ces mômes sont si gentils.
J'aurais, dans ma vie, aimé cette allégresse légère
Cette clairière embaumé de lumière matinale
Il y a deux trois visages sensibles qui abrègent ma solitude.
Il y a que toi pour jouer elle, et jouir de mes lassitudes.
Parfois nous voudrions que tout soit meilleur qu'avant
Le monde court constamment, l'esprit est un passager.
L'amour un passage. Je ne suis qu'un passeur dans l'air
C'est que tout ce qui est beau, n'ai pas mon goût.
J'ai le souvenir d'avoir aimé rire de la peine passagère.
C'est sournois et entre tes doigts, cela devient légendaire.
Est-ce la délicatesse est-ce la première chose qui s'en va?
Mais ce sont deux pensées semblables dans la nudité
Car je t'aime dans la force et la folie terrible de l'instant.
Laisse moi, ce souvenir avant la fin et la chanson sera jolie.
Que reste-t-il
Il reste des larmes, héritage
À l’absence si entêtante,
Silence comme rivage
Viennent s’échouer les sanglots
Des peines aux goûts infâmes
Aux cris des nuits sans fin
Se sont envolées, les âmes
erraient dans un lointain
Pourquoi faut’ il souffrir encore
Puni par l’émouvant chagrin
L’avenir comme un poids mort
Sans espoir de se revoir
Que reste’ il aux mots usés
D’avoir cherché le son manquant
Naufragé jamais consolé
De vivre cet éloignement
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jolis textes
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Le texte est joli mais je crois ne ps avoir bien compris le sens.Peux tu m'éclairer (désolé,j'suis novice)
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merci a vous.
dufette qu'est-ce qui gene à ton avis?
que je puisse comprendre ta demande
"Car je t'aime dans la force et la folie terrible de l'instant.
Laisse moi, ce souvenir avant la fin et la chanson sera jolie."
Dans tes textes je cherche et aime les parcelles d'espoir, les notes plus lumineuses.
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C'est beau, je trouve...
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De l'Amour, ce qu'il en reste, c'est les souvenirs et les expériences qui nous grandissent ...
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“J’ai tendu des cordes de clocher à clocher ; des guirlandes de fenêtre à fenêtre; des chaînes d’or d’étoile à étoile, et je danse.”
Rimbaud
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J'aime bien ton texte et ces images.
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