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Tu es là , incertaine et légère,
Entre deux minutes,
Emporte-moi assez loin,
Mon esprit s’ennuie
Les marches sont hautes
J’ai besoin de m’ailer,
éclaire mon voyage trouble dans les rêveries.
Dès que tu es là , dès que la lumière passe sur toi,
les étoiles entendent une cloche tintée dans le lointain de notre alcôve.
Ouvre moi le chemin devient la panthère
et moi le mangeur de fruit,
laissons-nous prendre au jeu,
devenir un moment des poèmes sauvages
dans la grande jungle urbaine
puisque rien d’autres ne répond au fond de moi.
Dans ces rues te perdre et te rattraper dans un tango endiablé.
La vivante humanité m’apporte dans ces paradis de délices
et j’y trouve des joies d’antique prince de la Cité.
Empereur et impératrice se succèdent au théâtre des amourettes
et des offrandes dionysiennes
mes serpents dans les cheveux je divague
sur les places remplies le monde habité par la musique
des pas mécaniques de la vie électrique.
Je parcours ces poèmes dans le sillon d’un ange magnétique
aux yeux magmatique,
elle en porte la vibration en consume l’énergie,
mais elle s’esquive en souriant les ombres glissent sur elle
comme passe les saisons sous les Lunes d’un ciel mortel.
Quelle importance au fond,
je regarde grandir la lumière à l’aube d’une vie neuve,
les éléments s’inclinent,
Il est bon d’entendre en eux la sagesse et l’espérance,
nulle vague ne recule, nulle rempart n’étouffe le vent,
leur voyage nous apprend à devenir égal au bruissement d’un pas,
en remuant l’immensité dans un battement d’aile.
Nous emportons nos anciens
leurs premiers raisonnements pour entretenir le souffle du vivant.
Les hommes se tuent et le silence de la raison l’emporte.
La peur grandit, calfeutré dans mon espace de liberté
Je songe à cet enfermement sans arrêt
je me dis c’est des fous dehors je suis dans un abri,
mais c’est moi que j’enferme. Alors je transpire, j’ai froid, j’ai peur.
Mon siècle est devenu l’empire des fourbes,
des drames Criminels couronné d’auréole crachent des flammes :
on tue et plus rien n’a d’importance
je me le demande mandat de dieu,
je me demande qu’elle fut ma vie
je me demande et je cherche à comprendre le prix que je donne à ma vie
à celle de tous ces gens unis mais c’est devenu une folie.
je me demande qu’elle fut ma vie
au plus tu vieillis au plus tu te le demandes, car çà passe tellement vite que çà te sembles presque irréel
bien vu ami
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C'est beau.
Dur à saisir, mais beau.
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j'ai un peu de mal à raconter des truc clairs, si quelqu'un à un conseil, pour développer des histoires je suis preneur. Merci Mc et Nouga
+1 avec nouga Forcément, même génération.
Sinon on trouve plein d'exemples d'histoires bien racontées sur ce forum.
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"je me dis c’est des fous dehors je suis dans un abri,
mais c’est moi que j’enferme."
c'est très touchant, ça..
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