Forum Grand Corps Malade et slam

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#1 27-10-2014 12:58:40

MoonZ
Invité

box12

Box 12.



Tu es libre et tu cherches la même chose que les autres
Un moment avec cette femme au bout du monde
Tu jettes des yeux doux et durs, je connais bien ce regard-là.
Celui qui défie d’aimer la première qui sourit sans savoir.

Tu es ce gosse avec des stylos dans les jambes
Qui dessine le monde en shootant dans le ballon
Tu peux devenir aviateur et rêver de moutons électriques
Tu peux devenir un phare et protéger les gens importants.

Les pires moments de ma vie sont rendus loin maintenant
Je ne compte plus les heures. Tu l’attendras toute la vie ?
Tu te demandes parfois s’il peut comprendre que tu es lui
Qu’il est dans ton esprit l’absence qui fait tellement de bruit.

C’est étrange de comprendre que nous sommes tous si petits
Et quand les hommes pensent qu’ils sont petits, ils se veulent géants
Parce que nous vivons dans un monde immense, alors j’attendrais…
Simplement de grandir pour attraper la lune et pour le moment j’écris.


Entre deux…



Tu as peur ? Parce que tu as besoin de vivre encore un peu
Tu as besoin de vivre parce que tu t’ennuies dans ton creux
Ton trou. Et quand ta bulle éclate, les larmes pleuvent… pourquoi ?

Je me dis que je ne serais jamais à la hauteur de ce qu’ils font.
Donner c’est prendre un temps interminable dans le fond.
Sinon ce ne sera pas bien, pas limpide et sincère finalement.

Tu as peur, de ce que tu ressens ou de ce que les gens attendent ?
Je ne suis pas moi-même, je cherche qui je suis, et je cherche l’autre
La danse est si triste quand nous sommes des fantômes seuls.

Et puis que dois-je craindre ? D’être juste à côté de mes pompes !
C’est une manière de vivre comme d’autre, je m’en fous vraiment
Il est si terrifiant de ressentir l’absence totale de cette présence

Tu parles de peur, tu parles d’amour, l’amour est une bonne chose !
Tu parles de larmes, tu parles du monde, l’amour est une bonne chose !
Tu parles à toi-même et tu parles seul, l’amour est une bonne chose !



26/10/2014



Tu te dis un jour : je suis un mauvais numéro de Freaks
Que je finirais homme canon dans un triste cirque
Tu dis aussi que quelqu’un t’attends et personne pourtant
Ne s’intéresse à tes problèmes, appelle-moi Diogène

Je mange dans la rue, des homards sur nappage raffinés
La nuit, je traverse la ville le pif dans ma chambre confinée
J’ai des moments d’errance et je me demande pourtant
Si mon chien à encore à manger. Appelle-moi…DOGEN

Tous les êtres ont une part de Bouddha, pourquoi vouloir
Etre tous de grandes choses. Pourquoi vouloir
Perdre tout ce qui me compose pour devenir un autre, pourtant
Si je suis sûr de ça ; je me demande. Appelle-moi…MoonZ

Sous la lune rousse alors que l’aube s’avance, je fonce
La feuille pour empire, je suis le monstre, bête à bouffer des ronces
Mais elles me rappellent monsieur ! Mes chemins à rebours
J’ai besoin de sentir ma vie, alors j’éprouve, appelle-moi Clown

Toutes les minutes qui longent les courbes de la princesse
Quand je bafouille en habit de bouffon, pour briser la glace
Je serais prêt à tout pour retrouver ces minutes à rebours
Avant que tout s’éteignent, mais pour le moment ça me plait bien.

Pourquoi une chose devient pour vous si importantes.
Pour que vous ne préfériez pas l’entendre ? Mais c’est juste
Les mots d’un cinglé qui ne mesure pas ce qu’il fait.
Avant que tout s’éteignent, je serais là-bas


Comme une poupée de chiffon.



Nous sommes des enfants perdus dans ce théâtre plein de poussières, à défendre le temps qui passe et passe sur nous. Attraper des étoiles, je sais que c’est possible, même si ce n’est pas vrai, c’est une manière de prendre de la distance. Il nous faut un accord sur cette gratte cassée et un peu de rythme, il nous faut une histoire qui finit bien ou un conte de fée sombre comme la nuit longue des enfants disparus. Quand blanche neige se transforme en allumeuse. Les flammes sont des amies terribles et les couleurs de nos îles troublées, comme dans une bouteille de verre.
Les conserves s’entasse de nouveau… le monde est plus lointain encore un peu… et je serais bien au milieu du désert. Il ne faut pas vraiment pleurer de ces choses-là, elles sont des misères de tous les jours. Le pendule craque et le temps s’arrête… Mais dans la rue les gens passent et si je ne sais pas, c’est juste que je suis sûrs d’une vérité, mon vaisseau spatial est au milieu des étoiles filantes.
C’est une autre façon de dire que nous sommes des Humains avant d’être des pionniers en quoique ce soit. Alors ce soir, ce matin à cet instant… je me sens bien au milieu du désert.

Et si ce n’est pas vrai, c’est juste une manière de prendre de la distance. Quand blanche neige est troublée par les bouteilles de verre, le monde s’arrête.



Comme il est beau le monde




Il y a dans ma rue, un garçon qui joue au foot
Et sourit à une fille qui l’évite poliment.
Il y a dans ma tête, un garçon qui joue l’idiot
Et sourit à une vie qui l’évite poliment.
Alors Il y a ces mots qui me viennent et me parlent
Ils sont pleins de chocolat sur les doigts et disent
Ce n’est pas moi. Je suis un gentil petit garçon
Assis au volant de ma caisse en carton. Je fonce
Et le monde sera-t-il vraiment aussi beau, dans 20 millions
D’années en lumière. Je me demande si l’avenir est un présent
Si c’est une destination, je réclame qu’on y plonge un moment
Comme on regarde doucement partir sa mère et son père.
Parce que je sais que je serais toujours de là-bas, où irais-je ?
Vous tendez la main et vous l’enlever ? Vous jouez les audacieux.
Et vous pensez que c’est une grande classe. Je ferme les yeux
Je me jette sans mentir dans l’océan de mots qui témoignent
De la profondeur de l’âme, mais quand on se fait mal
Les gens pensent que c’est contagieux. Alors je vous prie
Messieurs et mesdames de me laisser l’ouvrir encore une fois.
Le courage, l’audace, l’amour, la persévérance, ne sont pas des idées.
Vous prétendez que je suis un pauvre type. Mais je ne prends pas les choses
A la légère. Et si j’ai peur et si j’ai beaucoup de plaisir à ce jeu.
Je fais sincèrement ce que je peux, mais vous avez jugez malgré vos vœux.
Parler d’un avenir meilleur pour les gens en mal de sens, mal avec la vie
C’est avec ça que vous rabouter ? Je l’aurais dit.

Dernière modification par MoonZ (27-10-2014 13:14:29)

 

#2 27-10-2014 13:59:43

nicole
Nounou du forum
Lieu: charente
Date d'inscription: 20-12-2006
Messages: 64855

Re: box12

merci

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#3 27-10-2014 19:42:22

ITESS
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Re: box12

Quelques nouvelles poétiques,
Quelques balles de lyrics...


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