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Ma liberté... (titre repris à Reggiani)
Ma liberté que je chérie comme une bonne mère
Ma liberté que je tracasse comme une bête, est d’Air ;
D’heure en ère, elle est en quatre lettres : le Vent.
Qui s’habille de lumière et d’océan, de voile, de pages
Pour emporter loin notre souffle de souffrants, mon ami.
Ma liberté, que j’embrasse, séduite par mes mauvaises colères
Ma liberté, que je déguste avec des frites Ketchup-mayo
Ma liberté, à tout les temps de conjugaison, je la prêcherai
Comme une poésie, un trou noir dans l’espace ordonné du vide.
Qu’ais-je dans les mains ? Quel jeu jouer au spectacle des foules
Carré de case, cadre de peintre… rectangle d’inde dans un ampli
Où sonne le Sax d’un indou Métropolitain. Je jazze ma Liberté ;
Ces notes qui donnent l’envie de s’envoler pour d’autre pays
Et de prendre la main d’une femme, d’en perdre ces moyens,
En ne disant rien à foutre ! Qu’importe que les choses empirent,
Je tiens la Barre ! J’avance et le Vent nous emmènera là où il le veut.
Ma liberté endort toi un moment, reprend un peu de songe beaux
Ma liberté de l’amour, que je serais jusqu’à la dernière chanson.
Dernière modification par MoonZ (14-08-2014 11:22:45)
Ma liberté que je tracasse comme une bête, est d’Air
le parallèle avec l'eider met la liberté dans son cocon duveteux
bravo ami
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merci le Corbeau blanc
Puisse ta liberté filer longtemps au vent
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"Comme une poésie, un trou noir dans l’espace ordonné du vide."
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Joli texte! Souffle de liberté!
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