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Ma peine est capitale
De l état de ma raison
Ma prison s’étale,
De mes souvenirs aux émotions
Le moindre dédale
Est occupé par l’omission,
Je me régale,
Dés lors que j’impose mes opinions,
Univers carcéral
Ou je trône, roi des pions…
Vive ici la négation,
Ambiance fatale
Au royaume de la perdition
Face au miroir de l’espoir,
Reflétant mes cauchemars,
A cours d’arguments
Je réalise que finalement,
Je me mens…
J’abdique solennellement
Et répudies mes tourments
Le roi, s émoi…
J’abolis mes privilèges
Et décide d’accompagner le cortège
Enterrant mes illusions
Ou je trônais autrefois, destitution…
La démocratie me sourit,
L élection s’établit,
J’ai voté, seul, dans l’isoloir de ma pensée,
Le scrutin est clôturé
Une nouvelle existence peu commencé
Briser le seau du pénitencier
Que je m’étais crée
La république est instaurée
Mes sentiments auront dorénavant,
Le droit de citer.
L’état d’esprit, est devenu pays…
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Fermant les yeux, ma prison devenait une ile,
il était temps que j'apprenne à nager.
La brasse pour brasser, mais que restait-il à brasser,
Entre quatre murs, ou la vie s’oublie.
Le crawl serait illusoire, faute de mer à boire,
Et le dos vraiment utopique, tellement le ciel idyllique.
alors je fermais les yeux, vivre devenait l'option d'un nouvel horizon
j'aime bien tes textes, ami
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J'aime bien ton texte, les associations d'idées etc!
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est ce que tu les dis sur scene?
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bjr,
parfois des scènes ouverte...
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