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QUE DIRE
Que Dire
Là cool, j’entre, je crois, je suis la goutte d’encre qui fait déborder le vase
Mes larmes sur samples, je slam au micro, dingue j’ai des phases, mon blaze
Est lèg’ comme la lune dans l’enclume des rêves, qu’on appelle le ciel, man.
Parce que je suis pas un savant, et mes yeux cernés, discernent mal, le réel
Je préfère ces versets d’homme ivre et j’délivre simplement ma vérité.
Vous m’avez dit, que je serais jamais bien là où je suis, mais comment
Sortir du cycle, sans sas c’est insensé, nos sentiments sont nerveux, brûlants
Parce que nos esprits s’étouffent sous la chape de leur Autorités
Aliéné et alité, Atila de la l’allitération, mes aliments ne sont pas de littératures
Mais des matchs avec Ali sur le beat le baby, j’atise les flammes comme du kérozènes
Et j’emporte la reine, la marque. Les blessures et brûlures subies subsistent
On peut disserté sur le temps qui passe, mais la douleur pèse des tonnes pour Anubis
Alors j’envoie au vent et au silence des serments comme des suspects
Mon reste ! ouais mon reste, t’inquiet je persiste à croire qu’on y ira au paradis
Car l’enfer est ici ! Des putains drônes détournées avec un bout de ficelle
Et un peu d’alu, je délire peut-être, tt façon que le sait hein ? Alors je parle
Comme un putain de bécherelle dans les mains d’un bledard, je suis pas barbare
Je suis un berbère, et je me barre dans mon putain de désert, en veste de costard.
Je suis le secteur avec un œil rieur, c’est que nous sommes tellement.
Alors je m’en branle totalement de l’info, ma civilisation est malade
Nous marchons toujours devant, parce que nous sommes des Soldats
L’acte le plus saint est d’avoir tiré sur le Parrain, mon pote !
Je ne suis pas souvent dans les classes, côté passager, j’amasse
Les choses vont très vite, tu prends de la distance, parfois
Avoir froid dure sans fin. Mais la mission que nous avons ici-bas
C’est de vivre le plus longtemps pour finir assez bien.
Est-ce l’argent, le problème ? Les gens sont devenus tous fous
Je me sers de cette lame, avec ma conscience des risques
Rame de papier après rame, je ramène le score à égalité
Ma frappe est dorée comme le reflet pétrolé d’un bifton.
Je ferme l’atelier pour le studio, c’est vrai car nous ne trichons jamais.
Sers toi bien, de ton flingue, petit bonhomme et très vite
Car nous ne ratons aucune occasion de démontrer notre volonté
C’est comme une fine pellicule de soie, sur la peau d’une femme
Tu peux mourir pour elle, tu peux gagner la dernière danse
Mais tu sais déjà , que nous devrons quoi qu’il arrive, faire les comptes.
Leur interférence perce mon silence, et je dois penser bas
Pour que leurs ombres ne m’avalent pas, je ne les connais pas.
Alors je dois rêver de la pierre et du refrain mécanique
C’est pour que nous gardions l’équilibre que nous sommes ici
Qui le ferra pour nous, ils disent préférer nous voir tomber.
C’est souvent pour des histoires d’avant qu’on cherche la merde
Enfoncé une porte, embraser la nuit, nous n’avons rien à perdre
Leurs villas sont des berceaux agréables, j’ai appris à sniffer l’Ether
Le masque des anges heureux, peu devenir affreux, et l’enfer
Sourit passible et attend, que nous dansions tous avec le diable.
C’est pour ça qu’on recommence encore une fois
Pour sentir cette vie furieuse qui nous porte à chaque faux pas
Nous n’avons rien de meilleur au départ, c’est comme ça.
Alors partant de là , je dirais qu’on sera toujours présent ici
Et un jour meilleur, nous serons sans doute des Affranchis.
Instru MSB.
MoonZ
eh oui l'ami , AFFRANCHI , sinon esclave
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parfois il vaut mieux ça que rien, non? Nouga.
J'ai beaucoup réfléchi pour Affranchi, au lieu de Paradis ou autre.
Mais je crois que l'orientation du texte ( au fil de la plume ) s'y prete.
dans mon texte "Affranchi" c'est la liberté que je met en exergue
dans le tien le Paradis serait a mon sens un aboutissement
donc Affranchi correspond mieux
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moi je laisse juste bercer par les mots tels que: "l’enclume des rêves, qu’on appelle le ciel"
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