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FACE A MOI
SOUNDCLOUD
Ouaip écoute ça :
De l’âme d’or de l’enfant du mordor
A l’amour astral, je sers le mord, fais corps
Je garde mon attitude de saoulé du Sound
Le Système me prend dans l’étau
Et comme sur gynéco, je dribble tel Eto’O
Lotto sur le Dos, je jette quelques roses
Sur des trames de vie de drame en tramway, on cause
Sauc’ comme des gangster de Tarantino,
Tartine de sample sur violon acide, je déraille gro
Charclé dans le micro, comme à portée du gros
On se grave des noms d’enfants et nos rêves sur la peau
On cherche la vertus du vice, parce que sans on est KO
C’est clair jamais sous tranquillisant, je me vesqui
Comme un Uski dans ma main unUZi contre la tyrannie
Mon usine à mots crache des nuages pour l’afrique
Et je gratte en espérant que de tes yeux tombent la pluie.
Demain tout sera fini, Demain je serais pourquoi…
Ma roda de soledad, je rêve soleil, mais MoonZ je jazze et blast
Les murs d’enceinte, comme un space invadier en cage.
C’est comme regarder King kong jouer à pong, otage du mirador.
Je regarde transpirer un nombre
de gens plus grand que ceux qui trinque aux courses des urnes.
Slam saoul de jazz, Survêt, j’erre, mon jeans troué
Cloué à la bouteille, je vais coulé, emporté par le Son
Pyromane de samples, on slame pour nos gaziés
Passé présent et fritures on se fresque asphyxiés
Le stylo hostile, j'exprime mes vers illicites
Mental dur on martèle la tôle pour ce truc unique
Je suis Quit avec la merde, j'en aie vu et je veux voir mieux
Mireille Dumas, dira que je suis idéaliste, je suis juste curieux
D'un monde où nos possibilités donneraient du sens
Dans la façon de penser de ceux qui nous affiche sur la potence
Je présente mes frères mes amis mais eux veulent quoi?
Je suis là pour rendre meilleur ce qu'on vit, avec nos mains
Parce qu'au bout du désert, se lève le soleil de demain.
Je prêche sur feuille, pèche par orgueil, wesh ma gueule.
Je crèche entre chatte et infortune, je vais si souvent seul,
Un peu de vice et visé sur ma chaise dans l’air vicié, ma plume râle
Mais je garde le moral même avec des mots réalistes et mis à mal.
Ma mise faite, j’écris à la cime des arbres des plis jeté au vent.
Ma mine leste, je crie comme un mime à la mine pâle mon hymne lent
Et si je manie le Mic ! C’est par fierté d’être plus que ce que je suis.
Ce Skud sortira jamais entre Mina Minnelli et NTM, MoonZ je jazze
Sur les pierres grises dévoreuses de naufrages et de nos pages grasses.
D’encre noire, imprégnée de douleur, d’espérance, de grâce.
Spermatozoïdes schyzoïde, mon siamois est mon Pilot
Et sous pilon je pilote des bolides de poésie et mon stylo
Devient spadassin de feu et danse dans un essaim de salamandres
Et je fais un festin de tous lieux, de janvier à mes cendres.
Et mes sandales de vent frite les dents comme dans Mistral Gagnant.
Grise est la crise, quelques billet verts suffisent pour dorer un blason,
Mais de l’aurore je n’ai que ce blouson de solitude, vieille blues song
Ma roda de soledad, je rêve soleil, mais MoonZ je jazze et blast
Les murs d’enceinte, comme un space invadier en cage.
C’est comme regarder King kong jouer à pong, otage du mirador.
Je regarde transpirer un nombre
de gens plus grand que ceux qui trinque aux courses des urnes.
J’ai la rime lacrymale et mon hymne, man
C’est l’âme d’un tsunami, comme une lame de fond,
Pour humaniser tout.
On s’attache à cet art barge, de 16 barres larges
Section Freestyle. Comme Giotto je parle de l’époque
Comme un moine fou, j’erre dans mon frauque large
En marge d’un système, où les gens s’entre-aident
S’en tire et se termine à 5 heures du mat’ sur un skud
Un mic. J’slam calme et je sens ça boue dans mon crâne
Alors je clame, ce qu’on réclame, RESPECT
Pour les années de sévices des trust qui nous asservissent
Anti-social, ouais ouais, je suis antiquaire et PEACE
A ceux qui savent que l’action est notre moteur
J’agis par réaction à leur politicien et menteur.
Messieurs Dames, je demande votre attention s’il vous plait.
Ils nous tirent dessus, pendant qu’ils parlent de valeur Française
Et autorise, les atrocités des fascistes pour la Paix sociale.
Mireille Dumas, dira que je suis idéaliste, je suis juste curieux
D'un monde où nos possibilités donneraient du sens
alors ami quitte à citer Dumas
« L'argent est l'argent, quelles que soient les mains où il se trouve. C’est la seule puissance qu’on ne discute jamais. »
« Supprimer la distance, c’est augmenter la durée du temps. Désormais, on ne vivra pas plus longtemps ; seulement, on vivra plus vite. »
« Tous pour un, un pour tous ! »
« Certaines femmes aiment tellement leur mari que, pour ne pas l'user, elles prennent ceux de leurs amies
« Il est permis de violer l'histoire, à condition de lui faire un enfant. »
« En général, on ne demande de conseils que pour ne pas les suivre ou, si on les a suivis, reprocher à quelqu'un de les avoir donnés. »
« On a le droit de dire du mal des femmes ; on n'a pas le droit de dire du mal d'une femme. »
« J'aime mieux les méchants que les imbéciles, parce qu'ils se reposent.
« Pourquoi n'aimerait-on pas sa femme ? On aime bien celle des autres.
« Les mamans, ça pardonne toujours ; c’est venu au monde pour ça. »
« On ne vit pas de ce que l'on mange, mais de ce que l'on digère.
« Dieu, dans sa divine prévoyance, n'a pas donné de barbe aux femmes, parce qu'elles n'auraient pas su se taire pendant qu'on les eût rasées.
« En fumant, vous abrégez votre vie, me dit-on. Je fume depuis l'âge de dix-huit ans, j'en ai soixante-cinq, si je n'avais pas fumé, j'en aurais soixante-dix. Je serais bien avancé ! »
« En amour, qui doute accuse. »
et bravo pour ton texte ami
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